Mardi 28 novembre 2006 à 21:17

Fais comme les autres, dis lui que ce sont des histoires de grandes personnes.
Dis lui que morgane n'a pas le temps pour l'instant.
Dis lui qu'elle s'excuse de n'être plus là.
Dis lui qu'elle fait désormais partie des gens qui sont maudits.
Dis lui que le mauvais sort qu'elle a reçu lui a changé le coeur en pierre.
Mais ne lui dis pas que morgane s'en fou, dis lui qu'elle y pense.
Dis lui que je sais qu'elle a mal et qu'elle souffre.
Mais comme tu me l'a dis dis lui aussi
que c'est comme ça et qu'il faut se taire


Parce que ça ne se fait pas de gâcher la vie des gens
Dis lui que morgane n'a pas le temps
dis lui qu'elle pourra m'en vouloir plus tard
Dis lui que j'assume, même si ce n'est pas de ma faute si on en est là
Ne lui dit pas que c'est la tienne, elle ne comprendrait pas
Dis lui à cette petite fille, que je lui donne le droit de me haïr
Dis lui qu'elle aussi elle me manque
Mais que je ne peux rien faire pour l'instant
.
Parce que je ne sais pas si j'y survivrais.

Dis lui qu'il faut vivre.
Mais dis lui que si l'une d'entre nous meure avant qu'on ne se soit revue
Dis lui qu'à ce moment là il sera toujours tant de regretter
.
Dis lui qu'il faut attendre.
Dis lui que c'est toujours comme ça, avoue que c'est trop tard.
Mais ne lui dis pas que c'est pour toujours
.
Dis lui que surement un jour je reviendrai
Mais dis lui qu'il faudra grandir
Dis lui qu'elle saura quand elle sera plus grande
Dis lui qu'il ne faut pas pour autant de dépêcher d'être plus grande.
Dis lui que j'ai perdu mon coeur
mais dis lui que morgane va bien.

image ici

Lundi 27 novembre 2006 à 21:40

On dit que les contraires s'attirent
On dit qui se ressemble s'assemble
Et si au fond ce n'était qu'une satyre
Et s'ils étaient vraiment ensemble?

Elle est tombée du ciel, Ô gloire
à la raison pour laquelle elle a chu
Ce n'est qu'une excuse partielle, y croire
Pardonnez-là, elle n'y parviens plus.

a l'arrière du château, là dans la cour des nuages
Au dous abords des douves elle lisse son plumage
Ses ailes se sont tachées, assombries et salies
Elle a sombré sans murmure,sans lumière, sans un cris.

On dit que le temps passe
Et que l'on courre après
sans douceur il l'embrasse
juste pour ses projets.

Beauté fatale,et tristesse enfantine
Elle s'est tue, a souris, a repris sa comptine
et tandis qu'elle récitait phrase après phrase
Il l'a abandonnée, parmis ses écrits elle s'embrase.

ndlr: Tout à make....

Lundi 27 novembre 2006 à 18:34


Quelques vers. Quelques proses.
Bienvenue tout de même.
Une fois encore.    

"puisque l'amour est enfant de bohême et que les beaux aiment..."

"dis moi alors, qu'est ce qui se passe?
_ah non je ne suis pas amoureuse de lui!
_ *regard signifiant* "c'est ça..."
_nan nan. Mais j'aime à croire que je pourrai être"


C'est pas forcément très aimable de ma part de sortir ce genre de chose.
Oui, j'aime à croire que c'est vrai. Parce que
"on est plus heureuse quand on est amoureuse tu ne crois pas?"
et comme en ce moment je ne vais pas très bien...
Oui, j'aime à croire. J'aime à croire que je pourrai aimer.
Même s'il  ne se passe rien non, d'ailleurs j'ai pas vraiment envie qu'il se passe quoique se soit.
Non ce serait juste pour me dire qu'Ils en valent le coup quand même. Juste pour me sentir bien. Pour pouvoir me faire de faux espoirs. Pour pouvoir y croire, pour que ça me redonne la force.
Parce que ça ne se voit peut-être pas mais je lutte de plus en plus pour me sentir quelque peu...bien.
C'est juste lamentable^^. Je sais^^.
Il fait meilleur sur terre quand on aime. Comme il m'a dit. C'est comme une bulle protectrice.
Un peu comme un sérum qui accélère chaque guérison, qui fait taire les douleurs.
Comme un autre moyen encore, de s'en aller.
autre que chose que la drogue pour pouvoir planer.
"C'est du crack!? elle carbure au crack?
_nan, elle aime juste."


Oui... Me dire que je l'aime. Tomber amoureuse. Ce serait peut être le plus simple finalement. Quitte à en souffrir après, quitte à me rendre compte que je me suis totalement trompée.
Ils exigent l'euphorie. Je ne demande que le bonheur.
Je voudrais retrouver cette sensation. Ce creux dans le ventre, ces sourires qui arrivent sans pouvoir les retenir, ces déplacement pour être le plus près, toucher sa peau comme par inadvertance et feinter l'indifférence.
Si seulement. Si seulement je pouvais l'être.
Mais non. Aimer c'est une chose qui ne s'apprend pas. Aimer ce n'est pas une chose qui se contrôle. On ne l'a pas quand on veut...
*soupir*
                                                                                                                           *buée*

Lundi 27 novembre 2006 à 18:14


Il fait nuit, nuit noire,
comme il est rare d'en voir.Aucun nuage, ou peut-être trop.
Il fait sombre.
Je roule à l'arrière de cette voiture, la joue collée contre le carreau froid.
 Soupir...
... Buée.
Je regarde au dehors et j'envie.Je veux sortir. sortir de là! m'éloigner de tout ces phares, de cette radio qui n'en peux plus de crier les mélodies des derniers chanteurs à la mode, de ces discussions qui mènent toujours à la même chutte.
Je veux sortir, sortir de cette voiture.Je veux aller sous ce ciel couleur de cendre. Je veux me cacher dans la pénombre, m'enfuir à deux pas. Je veux être seule, seule avec le monde.
Je veux m'en aller courir dans ce champ jusqu'à en perdre haleine, je veux sentir sous mes pieds l'herbe mouillée qui glacera mes orteils.Je veux m'en aller, m'enfuir, courir, sortir, prendre l'air.
Je veux boire la tasse de cette ambiance lugubre. de ce néan. De ce paysage qui coule sur la vitre et qui semble, lui aussi, vouloir s'échapper. Je veux sortir! je veux m'enivrer de ces cieux obscurs,  m'éloigner de toutes ces présences humaines, de toutes ces lumières qui insultent la nuit.Je veux m'enfoncer dans les ténèbres de cette nature.
Je veux pouvoir tourner sur moi-même en respirant l'air de la nuit. Je ne veux être éclairée que par les astres.
Je veux sortir de cette carcasse en ferraille qui roule bien trop vite, et qui m'éloigne de ceux que j'aime tant.
Je veux ouvrir cette porte en métal comme on ouvre son coeur aux autres.je veux détendre mes jambes, crier au monde combien il me préoccupe. Je veux être saoûlée de ce bonheur insensé, de cette solitude euphorisante.
Je veux le sombre, l'obscur, que cette nuit soit mienne.

Je veux m'éteindre loin de tout ces feux.

M'éteindre dans la noire nostaligie de ces nuits d'automne.

M'éteindre dans ma propre clarté.

Mercredi 22 novembre 2006 à 17:50



_Te revoilà.Ici même. Tu es partout. On a beau vous fuirjamais vous ne stoppez votre poursuite?
_Oui. Je suis toi, comment pourrais-je te délaisser.  Je suis ton ombre. Ta conscience, cette partie de toi que tu refuses.
_Tu avais tort tu vois, je vie encore.
_C'est parce que tu ne le veux pas réellement.
_Si. Si je veux vivre.
_Tu mens, tu te mens. Mourir ne te dérangerai pas, sinon nous t'aurions tué depuis longtemps. Nous faisons le mal, celui que personne ne désire. Nous nous attaquerons à toi lorsque tu t'y attendras le moins...
_Hélas pour vous, je sais à présent que rien ne dure. Vous ne m'aurez pas. J'ai bien compris que le bonheur n'arrive jamais seul. Vous le suivez de près.
_Nous observer  ne suffira pas à nous arrêtez. Tu atteindras le bonheur, l'euphorie. Oh si je te le jure! Et ce jour là nous ne te ratterons pas.
_Mais je l'ai déjà connue cette euphorie. Vous avez échoué.
_Nous ne ferons plus cette erreur crois-moi.
_Je t'ai aimé je crois bien.
_Je sais.
_Et a présent tu fais partit de ceux qui veulent me détruire.
_Mais...Tout le monde veut te détruire.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | Page suivante >>

Créer un podcast