Dimanche 30 mars 2008 à 12:56

Je chantonne.
La vie c'est le gens.
Ils peuvent vous faire sourire alors que vous pleurez.
Ce sont leurs pensées qu'ils vous transmettent.
Les filles comme elles sont magiques
.
Amlyn est quelque part un bout de ce que je voudrais être.
Amlyn est un mythe.


C'est une fille que je n'ai jamais vue.
Sa voix et la couleur de ses yeux me sont inconnues.
Mais pourtant, je crois que je la connais elle.
Parce que si je veux pas lui parler, si j'ai rien à lui dire, c'est simple: je lui parle pas.
C'est une amie de loin. Une correspondante française à qui je peux tout dire parce que justement, elle est en dehors de tout. Elle est mon objectivité.
Elle me fait rire alors qu'elle ne me transmet que des mots.
Je peux lui dire que je pleure ou que je ris. Et jpeux rire avec elle mais si je vois pas ses yeux se plisser sous l'impact d'un sourire.
Je lui parle quand il n'y a personne d'autre. Et même quand il y a personne. Et même quand ils sont tous là. C'est souvent sur "Amlyn" que je double-clique.
Parce que je lui dit pas bonjour, que je lui demande pas toujours si ça va.
Et parce qu'elle me console sans le savoir.
Jl'aime beaucoup bien même si c'est une fille.
Elle arrive encore à me surprendre. en même temps,c 'est facile de se cacher derrière un écran et pourtant je ne lui ai jamais fais croire quoi que se soit. parce que je ne crains pas son jugement.
Jvoudrais pas qu'elle crève. Jvoudrais pas crever.
On maintient notre futur instable, je trouve.


Malgré les kilomètres, elle fait partie de ceux qui compte depuis un peu plus d'un an.
Elle ne connait pas encore tout à fait ma vie.
mais elle connait mes pensées.
Elle sait mon présent.
Elle a droit aux articles que je ne publierai jamais. Elle a droit à tout ces mots que j'aurai gardé pour moi si elle n'existait pas. Les caractères s'impriment sur l'écran, ils s'alignent à travers
les émotions, les idées, les vérités. Et je sais qu'elle est à l'autre bout.
Lorsque je me sens au bout du rouleau,
je sais que quelque part, il y a Amlyn à l'autre bout.

Parce que quand ça va pas, elle est une des rares personnes pour lesquelles "je n'hésite pas".
Il n'y a pas de cérémonies.
Souvent ça commence par une question.
Ou juste une phrase. Ou juste une information.
Ou juste un sourire factice


Amlyn est spéciale. La poussière. Le dessin. Inoue. Tout et le reste.
La poussière. Amlyn.


Pour tout ce que tu me consoles, pour tout tes conseils, pour ton angle de vue, pour les choses que tu dis et pour celles que tu sous-entends, pour toutes les métaphores que tu arrives à saisir, pour les découvertes derrière un écran, pour les secrets livrés, pour les dits et les non-dits. Pour ce que tu es et pour ce que je ne suis pas. Pour la fierté que tu me fais dans tes commentaires, pour l'envie de continuer qui se serait perdue sans ton enthousiasme. Pour tout ces petits mots qu'on s'est souvent lancés, pour celui-ci que j'ajoute à tous les autres :


merci

Samedi 29 mars 2008 à 20:13

Fin des mal-entendus.
Fin des mauvaises lectures et des mots ambigus.

.Coup de tête.
.Cris de l'âme.
.Stupidité spontanée.

.Passion.

Samedi 29 mars 2008 à 15:16

Tout va bien pourtant hein Franck ? Tout va bien.
Tu m'aimes et je t'aime aussi.
Alors tout va bien.

Tout va mieux avec toi, donc tout va bien n'est-ce pas ?

Alors pourquoi j'ai peur ? Pourquoi cette rapidité affolante dans les battements de mon cœur ? Pourquoi cette angoisse qui monde jusqu'à mes yeux ? Si tout va bien et que tu m'aimes, pourquoi j'ai peur moi ?
Pourquoi est-ce que j'arrive pas à accepter que tu puisses être quand même bien sans moi ? Pourquoi est-ce que je continue d'espérer chaque jour que tu veuilles vivre avec moi ?
Je sais que je devrais m'en contenter, que te voir chaque jour c'est déjà énorme, je sais que j'ai toujours tout voulu. Mais j'ai changé Franck, maintenant tout ce que je veux avoir c'est toi. Toi, t'es tout.
Si tu m'aimes, pourquoi est-ce que tu ne fais pas tout pour me voir plus ?
Je travaille encore plus tard le soir pour commencer plus tôt et passer mon temps dans tes bras. Je ne dors quasiment pas pour te voir un peu plus.
Moi je me tuerai pour toi. 
 Moi je fais tout, et j'ai quelques fois l'impression que tu fais si peu…
J'ai pensé que c'était moi qui en faisais trop. Ça doit être ça Franck.
Mais est-ce que tu comprends que toutes les mauvaises choses que j'ai pu faire avant c'était pour combler le vide que t'avais laissé ? Est ce que tu sais que toutes mes drogues n'étaient qu'un substitut de toi ? Est-ce que tu comprends ça ? Que chaque demi-journée sans toi est une torture ? Que je t'aime au point que tu es devenu mon seul but ?
J'attends que le temps ait finit de passer jusqu'à ce qu'il s'arrête à l'instant où je te vois.
Mais je ne sais pas si tu m'aimes comme je t'aime.
Je ne sais pas si toi, tu peux très bien te passer de moi.
Et ce qui m'angoisse ce soir, c'est la possibilité que tu le puisses.
Parce qu'apparemment, moi je ne te manque pas Franck.

Je dois être fragile parce que ça me ferait presque pleurer, tiens ! Oui, j'ai peur Franck.
J'ai peur que tout s'effrite et que le vent souffle d'un coup toutes les miettes qu'on avait rassemblées. J'ai peur de toi un peu, mais surtout de moi. Je ne sais pas quoi  faire et je ne sais pas non plus si je dois tout te dire. Franck ! Franck j'ai tellement peur de ne pas être assez bien !
J'ai tellement peur de tout faire foirer…
Tu dois pas savoir à quel point j'ai besoin de toi.
Et c'est sûrement mieux comme ça.
Oui, tu ne dois jamais savoir vraiment à quel point j'ai besoin de toi.
Ça vaudra mieux.

Samedi 29 mars 2008 à 15:13

Franck et Lou dorment sous le même toit, mais pas dans le même lit. L'appartement est vaste et somptueux. On entend l'air chanter dans les couloirs, on entend le vide danser. Pourtant Franck et Lou ne se sentent pas seuls. Ils sont au chaud sous leurs draps respectifs. 
Ils dorment. Et tout va bien.
Mais moi je vois Claudia. Et Claudia me parait minuscule dans ce si petit monde. Contrairement à ce qu'ils pensent : Claudia a froid.
Elle est seule pour chauffer son lit deux places. Et elle grelotte emmitouflée dans ses draps gelés.
Claudia ne dort pas vous savez, alors Claudia pense.

Elle ne comprend pas pourquoi Franck n'est pas là. Pourquoi est ce qu'il ne reste pas proche d'elle à chaque seconde. Claudia aime avec trop de passion et même vue de si haut, je vous assure qu'elle vous déchirerait des cœurs.  Parce que Claudia tient autant à Franck que vous à vos yeux. Il est son essentiel, mais il n'est pourtant pas là. Alors Claudia pense. Elle pense que c'est parce que ça va trop vite, parce qu'elle prend tout ça trop au sérieux. Elle pense que c'est de sa faute, qu'elle ne sait pas aimer correctement. Claudia pense qu'elle l'aime trop fort, mais que lui pas autant.
Alors elle se raccroche aux souvenirs. Parce que, bien sur qu'il l'aime ! Il le lui a dit. Et puis, ça se voit dans ses yeux. Il l'aime. « Oui, pense Claudia, oui il m'aime. » Et moi ça me ferait presque mal au cœur qu'elle pense ainsi. Mais c'est comme pour se rassurer, comme pour essayer d'être certaine. Parce qu'il est tout ce à quoi elle peut se raccrocher quand le monde se disloque.
Elle se souvient de Franck et de sa tendresse d'il y a quelques heures. Elle se souvient des « je t'aime ». Elle pense à tout ce qu'ils ont surmonté tous les deux, à leurs souvenirs communs. Claudia se raccroche à ce qui fait battre son cœur : à tout ce qui a un lien avec l'homme qu'elle aime.
Elle se souvient de toutes ces fois où ils ont fait l'amour et je l'entends soupirer, le sourire aux lèvres. Son souffle se condense dans l'air. Brûlant face au vide glacial. Parce que quand Claudia couche avec Franck, elle comprend ce que signifie « faire l'amour ».

Samedi 29 mars 2008 à 15:12

Elles.
Les filles.
Et la magie qu'elles transportent.

Parce quand elles vous regardent avec leurs grands yeux de biche, c'est impossible de résister. Elles ont cette manière de marcher, ce rire si clair, ces lèvres qui paraissent si tendres ! Les filles sont magiques. Elles attirent.
Et j'ai la chance d'en avoir deux près de moi.
Parce que Louise et Claudia sont deux très jolies filles. Très différentes. Mais tellement jolies l'une comme l'autre.
Et j'aime les avoir à côté de moi. J'aime marcher dans la rue encadré de ces deux anges.
Il y a mon ange gardien, et celui que je dois protéger.
Elles sont magiques, vous savez, elles sont vraiment magiques.

Parce quand elles vous regardent avec leurs grands yeux de biche, c'est impossible de résister. Elles ont cette manière de marcher, ce rire si clair, ces lèvres qui paraissent si tendres ! Les filles sont magiques. Elles attirent.
Et j'ai la chance d'en avoir deux près de moi.
Parce que Louise et Claudia sont deux très jolies filles. Très différentes. Mais tellement jolies l'une comme l'autre.
Et j'aime les avoir à côté de moi. J'aime marcher dans la rue encadré de ces deux anges.
Il y a mon ange gardien, et celui que je dois protéger.
Elles sont magiques, vous savez, elles sont vraiment magiques.

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