Mercredi 9 janvier 2008 à 21:31

Je t'ai attendu. Oh si tu savais comme je t'ai attendu.
J'avais des mots à te dire, il fallait que je t'explique certaines choses. Je t'ai attendu pour te dire combien je t'aime et combien je tiens à toi. C'était pour que tu sâches que sans toi je ne saurai pas quoi être, que quelque fois j'ai peur de te perdre. Que maintenant, je comprends certaines phrases que j'avais toujours trouvées surjouées.
Je t'ai attendu pour te dire que si je te perds, je perd tout. Que je t'aime de tout mon coeur. Et que tu occupes la moindre de mes pensées. Ce genre de choses tu vois. Il fallait que je t'explique tout ça.
Que si quelques fois il m'arrive de te fuir c'est peut-être parce que j'ai peur de m'accrocher trop fort et de tout déchirer. Si je me tais, si je ferme les yeux ou lorsque je les baisse, c'est pour ne pas t'effrayer. C'est pour que tu ne vois pas.
Pour que tu continues à sourire avec toutes tes mimiques. J'aime te regarder vivre.
Je t'ai attendu parce que j'avais besoin de toi. Je devais aussi t'expliquer ça, que lorsque tu es tout près de moi, ou encore, lorsque ta peau frôle la mienne pour venir tout contre, c'est un miracle.
Les gens passent leur vie à attendre un miracle. mon miracle c'est toi.
Ce qui me sauve, ce que j'ai du mal à croire mais que je ne peux nier. Mon miracle. Mon inimaginable.
Je t'ai attendu parce que je ne savais pas quand je pourrai t'en parler. Te parler de toi. De la manière dont je te vois. Ma Terre ne tourne pas autour du soleil. Ma terre tourne autour de toi. Tu as changé mon monde, tu y as apporté la lumière là où je ne voyais rien. Avec toi je me suis vue un avenir.
Je t'ai attendu. J'ai attendu que tu arrives. Que tu reviennes.
Mais je n'ai rien su te dire.
Parce que je n'ai pas cette audace de jouer les princesses.

Par Margo le Lundi 14 janvier 2008 à 20:45
C'est dans ces moments là que j'aimerais que tu sois là. Lui, il joue et il chante en même temps et moi j'écoute. J'écoute les mots qui sortent de sa guitare. Je trouve ca émouvant. Parce que beau ca veut rien dire. Il est là, dans son monde à lui et il s'en fout des autres. Lui, il joue. Il joue les mélodies de son coeur.
Et j'pense à toi, étrangement. Parce que tu me manques.
 

Ajouter un commentaire









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://futile.cowblog.fr/trackback/2396460

 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast