Jeudi 11 décembre 2008 à 21:41

J'ai pas rêvé de rien, et s'ils disent entre eux que parfois je vais trop loin, c'est peut-être juste qu'ils sont jaloux.
C'est ce que j'aime à croire.


Et qu'ils sachent que si je porte des jupes, ce n'est pas que ça me ressemble. Parce que je n'ai pas changé. C'est pour me faire remarquer.
Un point c'est toi. Mais j'ai au moins la décence de le dire quand on me pose la question.
Je m'efforce d'être mieux.
Et c'est ce qui me fera détester.
I know.


J'ai pas crié sur les toîts que je savais tout mieux
et j'ai pas non plus été me frotter à chaque mâle pour me sentir vivante.
Je voudrais réussir à ne jamais crier sur toi. Mais à crier surtout sous toi.
J'aime mieux. Sans me taire. ça m'attère.
J'ai joué sans feu. "j'ai été sage tu sais. Et si non, j'ai pas vraiment fait exprès"
En toute conaissance de cause. En toute conaissance d'effet. Je suis claire sans être obscure, un peu trop pâle mais jamais blanche.
Mais si ça peut vous rassurer, je me perds dans toutes mes métaphores.
J'ai toujours essayé d'être autre chose.
Maintenant j'en arrive au point au j'ai du mal à savoir ce que je dois essayer d'être.
Parce que j'ai beau les admirer parfois, j'ai beau les envier toutes ces belles. Je peux pas jouer à leurs jeux.
J'aime pas les jets d'acide. Je peux pas m'intégrer, parce que ce qui les fait rire ne m'amuse pas.
    J'ai voulu me jeter par la fenêtre parce que je n'arrivais pas à prendre l'air.
  J'ai cherché partout quelqu'un avec qui prendre un bol de froid, l'air de rien, l'air d'en rire.
J'ai pas voulu sauter par la fenêtre parce que son rebord n'était qu'à un mètre du sol.
J'ai pas pris mes cachets ce soir.
Si j'avais un problème, je ne vous en parlerai pas.
 Parce que vous prendrez pour ce que je ne veux pas être pour vous.
J'aurai pas aimé aimer celui que tout le monde aime.
J'aime mieux le mien.

http://futile.cowblog.fr/images/sieste-copie-2.jpgJ



 
Je porte un pull rouge-sale et je baigne dans mon sang.
http://futile.cowblog.fr/images/Image021-copie-1.jpgça me fait juste venir les larmes, les maux,
les lettres, les mots, les peut-êtres.
J'ai espérer qu'on me lise, qu'on m'analyse, et qu'on sache à travers
Un, deux, trois verres. Et tu sais, il faut bien les comprendre,
au bout d'un moment, il semble qu'il ne reste que ça.
Et je ne vois rien d'autre.
Je refuse de penser ce que tout le monde pense. Je refuse la critique pour la critique.
Je m'efforce d'être juste. Et dans ce monde, vous savez, ça n'est pas si facile.
Et être juste, ça n'est pas pour tout le monde être quelqu'un de bien.

(L'amour est un téléphone qui ne sonne pas)*

 
Le bonheur, c'est ici.

Ici et maintenant.

Avant c'est trop tôt, et après c'est trop tard.


Après, c'est trop tard...

 

Aucun commentaire n'a encore été ajouté !
 

Ajouter un commentaire









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://futile.cowblog.fr/trackback/2744289

 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast