Jeudi 14 février 2008 à 17:58

Lorsque le monde tourne.

Je suis une écrivain de merde parce que je me sers d'un clavier pour écrire.
Je suis "la nouvelle génération" d'auteurs : la partie qui écrit mal. "ils sont nuls eux." Je ne vaux donc rien.
J'écris des phrases merdiques parce que je n'écris pas que sur papier.
Parce que moi je n'ai pas de corne sur la phalange qui sert d'appui à mon stylo. Si j'avais une machine à écrire, je serais contente.
Je suis une gamine qui se prend pour une littéraire.
Parce qu'en y réfléchissant, l'histoire du Livre : c'est dla merde.
Allez donc la raconter! "C'est une histoire de gens qui s'aiment et ce sont aimés". Si ce livre n'était pas le mmien, et que l'on m'en énonçait l'histoire , je ne voudrais pas le lire. Je veux écrire un livre intitulé "L'amour coûté 500 €"
Puisque j'écris "des histoires avec des putes". Et oui, cocotte. Mais il faut finir les choses en cours.
Moi j'apprend Sand et Beauelaire jusqu'à pouvoir dire des vers les yeux fermés. Je loge les mots dans mon coeur et ils en ressortent. Par coeur. Et ça ne sert à rien.

Le monde tourne et mon disque aussi J'aime écrire sur "comptine d'un autre été".

Je veux ses bras, je veux ses mains dans mon dos, jusque sur ma nuque.
 Je veux le soleil sur ma peau et l'herbe dans mes cheveux. Je veux des chats dans les nuages, et des rêves dans un soleil. Je veux comme l'été dernier. Je ne veux pas de bac, je ne veux pas d'avenir. Je veux tous ces jeunes qui jonglent et font s'envoler mes bollas. Je veux la valse des sourires et du samarabalouf entre les doigts de Paul et Maxime. Je veux juin et sa fumée de provence. Je veux les pupilles dilatée et la fusion des rires. Je veux les pommes partagées et le partage des souvenirs. Les bouteilles de grenadine et les chichas dehors. Je veux ,nos canapés dans un parc et nos pieds nus dans l'herbe. Des batailles corses et des vélos. Je veux la liberté provisoire et illusoire.
Je veux le factice qui rend heureux.
Eblouir le monde par la blancheur de nos idéaux. Refaire le monde sans rien y changer pour autant. Dealer nos espoirs allongés le visage vers le ciel.
Puisse que Dieu ne nous voie pas.
Je nous veux nous sous une averse tiède.

Par amlyn le Jeudi 14 février 2008 à 18:24
bah nan c'est pas de la merde, nimporte quoi ces anciennes générations!
moi j'ai de la corne sur le majeur droit, mais je n'écris pas pourtant. Alors ça veut rien dire.
J'aime ce que tu veux. J'aimerai aussi... tellement de choses
Par Moux le Jeudi 14 février 2008 à 21:30
J'aime pas les gens parce qu'ils puent de la gueule.
J'aime bien les gens parce qu'ils puent de la gueule.
 

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