Mardi 6 mai 2008 à 18:31

Elle est ma lumière. Lorsque la nuit tombe et que les étoiles s'éteignent, moi je vais voir Claudia, et ses yeux brillent plus que n'importe quel soleil.

Elle me fait doucement sourire, la fatigue fait clignoter ses pupilles et la chaleur de sa danse courre encore tout le long de son corps. Ma Claudia est un soleil, elle brûle d'un feu insensible. Elle se consume d'elle-même et le cœur de ses bras est un brasier. Lorsque sa peau effleure la mienne et qu'elle s'agrippe à mon bras comme d'autres prient les dieux, je sais qu'elle m'aime.
Et vous ne savez pas à quel point c'est rassurant de la sentir près de moi prête à dévaster le monde pour me garder.

Vous ne savez pas à quel point l'adrénaline grimpe en mois lorsque mes paumes se couchent sur le bas de son dos. Vous ne savez pas à quel point ses cheveux sont doux sous mes doigts, vous ne savez pas à quel point j'aime la sentir endormie sur ma poitrine. Oh non, vous ne savez pas à quel point elle est splendide. Vous n'avez aucune idée de sa beauté réelle, de ce que tous ces grands yeux bleus sont capables de dire. Vous savez sûrement qu'elle pourrait vous tuer d'un regard, en un clin d'œil, mais vous ne savez pas qu'elle peut vous redonner la vie en posant les yeux sur vous.

Ma vie n'a plus vraiment de sens. Elle va dans n'importe quelle direction. Elle part en couilles oui, mais j'aime ça. J'ai l'argent sur mon compte et l'amour autour de moi. J'ai Lou, le monde, et j'ai Claudia.J'ai eu tout ce que les autres ont désiré. J'ai réussis à réussir.
Mais c'était dans mon monde que j'échouais. Alors Lou m'a fait visité le sien. Et Claudia m'a ouvert les portes de son immense univers. Tout est artificiel, tout est artistique, tout est passionné.
Le monde c'est elles. Le monde c'est les femmes.
J'ai mon amie d'un côté, et mon amour de l'autre.
J'ai le refuge et l'imprévu. J'ai le calme et la fougue.
J'ai Lou et Claudia.
Mon dieu, j'ai Lou et Claudia !

Je ne voulais pas ça. Mais je l'ai eu.

Et pour rien au monde je ne voudrais le perdre.

Comme si chacun de ses mots parvenaient à faire lever un peu plus mon sourire.
Oh non, tu ne comprendras jamais à quel point mon cœur est attaché au tien. Tu ne comprendras jamais la douleur que me cause chacun de tes départs. J'ai entendu dire que tu voyais des soleils dans mes yeux.
Mais tu ne me vois pas lorsque tu es partis. Tu ne vois pas que les soleils s'éteignent comme de vulgaires étoiles fluorescentes au lever du jour. Tu ne vois pas que ton absence jette un drap noir sur le brillant de mes yeux.
Je t'aime comme les autres vivent.

Merci d'être là Franck. Merci de venir me chercher à la sortie de l'enfer. Merci de m'offrir cette vie et de ne pas me laisser tomber.

Par amlyn le Mardi 6 mai 2008 à 18:47
"Tout est artificiel, tout est artistique, tout est passionné.
Le monde c'est elles. Le monde c'est les femmes. "

j'aime beaucoup. Merci
 

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