Sur le périphérique, la nuit, il fait 19°C.
Je respire la tête contre la vitre. Un nuage de buée s'y forme. La trace de mon front restera sur le verre lorsque je serais partie.
Les voitures filent autour de moi et les immeubles ressemblent à l'avenir.
Derrière eux, la nuit a peint le ciel en bleu foncé. Je n'ai ni chaud, ni froid.
Samedi 30 juin 2012 à 1:25
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