Oui mais il y a eu ces deux mots "aide-moi".
Habituellement ils sont sous-entendus, habituellement je ne les entends pas je les sais. Et puis j'arrive le sourire aux lèvres. Je vous regarde pleurer, j'écoute, je partage vos larmes et sanglots. Et puis je vous prend la main et vous relève. Puis je repars, comme je suis venue, le sourire aux lèvres.
Vous vous êtes relevés, vous marchez bien car j'ai pris un peu de votre fardeau sur mes épaules, pour que vous soyez plus légers. Mais moi, je n'en suis pas pour autant allourdie. Au contraire.
Vous me donnez, je prends, je souris et "aurevoir". On ne s'oublie pas mais on ne se voit plus, on a trop partagé. Et un "merci" du bout des lèvres. N'ayez crainte, "tout le plaisir est pour moi".
...
Oui mais là c'est différent. Parce que c'est Lui qui m'a aidé en premier. Alors que je ne demandais rien. Il m'a vue, ma cherchée, a mis du temps mais m'a trouvée. Il a tout pris (ou presque) sans que je ne lui donne quoique se soit. Il m'a allegée. Alors que je ne savais pas ça possible. Il ne me connait pas, il me sait. C'est mieux comme ça.
Et lui, si fort, qui connait si bien le monde, il me demande de l'aide. A moi. Anko, la toute petite. Je suis flattée vous savez.
Si lui je le relève, c'est moi qui lui dirai merci.
Mercredi 20 septembre 2006 à 19:37
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ca veux rien dire tu me diras mais bon je suis tellement diférent des gens que c'est tout a fait logique!
Et il y a une chose que tu ne sais pas et que je te dirais un jour.
J'espere qu'il ne détruira pas ce texte.