Mercredi 22 novembre 2006 à 17:50
_Te revoilà.Ici même. Tu es partout. On a beau vous fuirjamais vous ne stoppez votre poursuite?
_Oui. Je suis toi, comment pourrais-je te délaisser. Je suis ton ombre. Ta conscience, cette partie de toi que tu refuses.
_Tu avais tort tu vois, je vie encore.
_C'est parce que tu ne le veux pas réellement.
_Si. Si je veux vivre.
_Tu mens, tu te mens. Mourir ne te dérangerai pas, sinon nous t'aurions tué depuis longtemps. Nous faisons le mal, celui que personne ne désire. Nous nous attaquerons à toi lorsque tu t'y attendras le moins...
_Hélas pour vous, je sais à présent que rien ne dure. Vous ne m'aurez pas. J'ai bien compris que le bonheur n'arrive jamais seul. Vous le suivez de près.
_Nous observer ne suffira pas à nous arrêtez. Tu atteindras le bonheur, l'euphorie. Oh si je te le jure! Et ce jour là nous ne te ratterons pas.
_Mais je l'ai déjà connue cette euphorie. Vous avez échoué.
_Nous ne ferons plus cette erreur crois-moi.
_Je t'ai aimé je crois bien.
_Je sais.
_Et a présent tu fais partit de ceux qui veulent me détruire.
_Mais...Tout le monde veut te détruire.
Ajouter un commentaire
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://futile.cowblog.fr/trackback/1367068