Le coeur morcelé. Le corps engourdis. La tête qui tourne encore plus vite que la Terre.
L'un près de l'autre. en nos esprit. Comme s'il n'y avait que nous.
Nous et cette musique qui nous envolent de l'intérieur.
Les yeux clos et un léger sourire sur le visage.
Essouflés l'un comme l'autre. Défoncés jusqu'aux os.
Les yeux rouges sous nos paupières lourdes.
Avec l'odeur de sueur qui plane dans la pièce.
Mais nous on la sent plus, on sent plus rien.
Juste le monde qui tangue et nos coeurs qui cognent.
Lundi 25 juin 2007 à 11:43
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