Mardi 10 octobre 2006 à 19:03

"Je suis l'être, le vivant, la morte.
Je suis l'humain, l'animal.
Je suis le réel, le psychologique. L'hallucination.
Je suis le crime, le châtiment.
Je suis le pêché, l'absolution.
Je suis le garçon complexé, la fille complexe.
Je suis le génie inconnu, l'artiste incomprise.
Je suis banal, exceptionnelle.
Je regarde beaucoup la télévision. Et je ne sais pas très bien lire. Je ne lis pas, je n'écris pas.
Je cris, je vous lie. Je suis le cadenas, je suis les chaînes.
Je regarde beaucoup la télévision. Je me nourris de vos douleurs.
Je suis le miracle, la plaie. Je suis la mysogyne, le féministe.
Victime de l'inanité et du népostime.
Je suis fille de Dieu, fils de Satan.
Je regarde beaucoup la télévision.
Tout ces meutres, ces attentas, ces souffrances, ces viols, ces tortures.
C'est excitant. J'aime.
Le sang, sa couleur, l'odeur du souffre, les pleurs des enfants.
ça me fait ce truc au creux du ventre. J'aime vous voir souffrir. Tous.
Moi aussi un jour je tuerai.
Je regarde beaucoup la télévision.
Je me touche chaque soir, regarde des films pornographique, admire cette chair là juste pour mon propre plaisir, ces corps qui s'agitent les uns dans les autres. Je surf sur les sites les plus hot, et je laisse les jeunes ados se dénuder sous mes yeux devant leur web cam.
Je suis perverse, mal-pensant.
Je vous aurait. Je suis vous, votre reflet. Cette part de votre être que vous n'acceptez pas.
Je suis l'Homme.
Seul mon propre bonheur m'importe.
Je suis une enfant, un adulte, une vieille.
Je suis un nouveau-né. Un cris, un soupir, une larme, une goutte de sang.
Je vole mon père, crache sur ma mère, insulte mes grand parents.
Je vous baise. Tous. Pour de vrai.
Je suis invincible, imbatable. Je suis au dessus de tout, au dessus de vous.
Je détruirai le monde, je vous anihilerai.
Je suis vous.
Craignez-moi, je vous pénètre.
Je suis sale, image de pureté.
Je suis lâche, vous frappe par derrière.
Rampez, je ne vous accorderai rien. Ne serait-ce qu'un regard, j'admirerais les lambeaux de vos âmes.
Je brise des familles en provoquant l'adultère. Je déguste les divorces, l'incestes, et les violences familiales. Soumission, coup, blessures, scarifications, suicides.
J'aime. Misérables.
Je laisse les enfants foutrent leur vie en l'air, admirant la béatitude sur le visage de leur parents.
Je vous sussure la bombe nucléaire, l'arnaque, la tentassion.
Je suis vous.
Je vous aurait.
Je suis l'homme, l'animal.
Craignez moi. Je suis tapie là, au fond de votre ventre.
Entendez-moi rugir."


Mardi 10 octobre 2006 à 7:58

Ils m'ont dit que fumer n'était pas une solution
mais ils ne m'en ont offert aucune autre
alors j'ai rallumé une cigarette

Ils m'ont dit que fuir était lâche
mais ils ne m'ont donné aucune arme pour combattre
alors j'ai continué à courir

Ils m'ont qu'il était mauvais de vivre mes rêves
mais ils ne m'ont donné aucune réalité vivable
donc je suis partie à nouveau

Ils m'ont dit que pleurer était inutile
Mais ils ne m'ont pas fait sourire pour autant
alors je n'ai pas retenu mes larmes

Ils m'ont dit que je ne savais pas aimer
mais ils ne l'ont pas appris
alors j'ai laissé fleurir mon coeur

Ils m'ont aussi dit que vous me décevrez
mais ils n'ont pas su me convaincre
alors je continue de croire en vous

Bienvenue au café des jours heureux
tu veux mourir ou quoi?
adossée au marronier, une cigarette à la main, Rouge.
avant l'envol.
trop de hérissons écrasés
S'il vous plait, merci.
les feuilles ont étrangement repris vie ce soir, non? (non.)
Ton sourire qui s'élève comme une lueur d'espoir
Rien ne sera jamais comme avant
Je te prête mon ange.
esquive caca
Tu as les yeux qui brillent et les souvenirs qui s'y reflètent....

                                                                     On a rien compris Anko...
merci. aurevoir. bonne journée. à bientôt.

et même si quelque part je t'aime
(love?
)
autant que j'ai la haine...
 (hate)



Mercredi 4 octobre 2006 à 8:03

J'en avais envie.bien trop envie.
ça montait de plus en plus, il fallait que ça sorte. j'en avais mal au ventre,  je ne pouvais
pas empêcher mes jambes de trembler. Ce que je ressentais c'était vraiment fort, vraiment prenant.
ça me faisait mal.
Il fallait que je sorte,ou que je m'enferme
.
Je devais faire quelque chose pour que cette sensation s'arrête.
ça allait sortir, c'était humide, mouillé, j'en pouvais plus, j'avais si mal. Un noeud dans l'estomac.
J'en pouvais plus...Vraiment.
en fait j'avais juste très envie dfaire pipi ^^


°c'est fou le nombre de conneries
qui peuvent vous passer
 par la tête le matin au réveil°

Mardi 3 octobre 2006 à 21:15

Il y a comme une odeur de neige là au dehors quand je pars le matin ou quand je ferme les volets.
Il  ya tant de douceur dans le chocolat au lait de mon Lycée.
Il y a tant de pièce de 10centimes que je ne trouverais jamais par terre.
Il y a mon père qui est convaincu que les vaches ont trois pis.
Et il y a mes sourires qui explosent que je ne comprend pas.
Il y a la cage aux poules de notre dame. dans laquelle je suis restée coincée. "attendez deux secondes, jsuis en train de mourir de rire"
Il y a ces contrôles ridicules où on est là à noircir le papier (Que dis-je! à le bleuir!)  comme si notre vie en dépendait.
Il y a ces cartouches vides que je lance par la fenêtre du deuxième étage.
Il y a le chat du voisin, qui pisse sur sa propre boîte aux lettres.
Et il y a ma prof de français, qui rit toute seule me faisant briller les yeux.
Il y a ce blog, qui est un peu trop brouillon et où je me livre peut être un peu trop.
Il y a ton sourire qui s'élève, c'est comme une lueure d'espoir.... (saez)

Mardi 3 octobre 2006 à 21:09

.Pardon.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | Page suivante >>

Créer un podcast