Mercredi 20 décembre 2006 à 21:18

Il y a deux choses à propos desquels je me pose beaucoup de question.
Dieu et le porno.
Deux choses qui font que je suis parfois prise d'une profonde incompréhension, d'un dégout, d'une sorte de colère et d'un sentiment de révolte lorsque j'y pense.
Parce que j'ai du mal à comprendre ça certains jours.
Je ne comprends pas qu'on en ai besoin, qu'on ne puisse pas vivre sans ou bien que l'on y parvienne avec difficultés.
Dieu et le porno. On devrait me lapider pour cette association.
Ces deux "choses" dont les principes sont totalement opposés mais qui pourtant m'attirent.
Parce que je suis curieuse. Très...Trop.
Alors tantôt je ne comprend pas non, qu'ils soient à baver devant un tas de chairs gesticulant, devant de faux soupirs et devant cette image tant salie de l'amour.
J'aurai du le crier très fort. Que la vie n'est pas un film porno.
Trop tard. Ce qui est fait est fait. Quand on aime on ne compte pas.
Et dieu. C'est incroyable pour moi. Que ces Hommes y croient vraiment: Qu'un être parfait a pu créer le monde et qu'il ( le comble! ) veille sur nous, nous protège et nous aime.
Nous sommes tous les enfants de Dieu.
Après nous avons été plus ou moins désirés...
La grossesse divine n'est apparemment pas toujours désirable/désirée.
Alors ils aiment ça. Dieu et le porno.
Certains sont fan des deux remarquez...et pourtant que les bases de tout ça sont si éloignées...

Même si au fond...Dieu est une idéal,...Je suppose que pour certains Clara Morgane et ses copines sont aussi un idéal.
Seigneur que nos volontés sont sales! La perfection. C'est tout ce que l'on cherche. Et elle se trouve incarnée en Dieu...et en le porno.
What a big théorie...
J'essaie de comprendre. Je ne sais pas si un jour j'y parviendrais.
c'est tellement complexe  Dieu et le porno...

Oui, bien sur que je mérite d'être cruxcifée.

Mercredi 20 décembre 2006 à 21:05

Se taire.
Non s'il vous plaît ne me parlez plus. Vos maux m'usent et ravivent les miens.
A présent que vous êtes si loin, à présent que je ne puis plus parvenir jusqu'à vous;  Oubliez-moi je vous prie. Laissez moi être, sans vous soucier de mon sort. Et ne me parlez plus du votre. Car désormais plus rien ne m'importe.
Je ne vis plus.
Je suis.
Sans aucun désir, sans aucun ornement, sans aucune crainte. Si ce n'est celle de votre présence...
J'ai aujourd'hui tout perdu. Chaque don que je possédais. Je ne suis plus qu'une ombre, un souffle.
Le souffle de vos lèvres.
J'ai cessé d'exister, pour vous, pour moi et pour les autres.
J'ai perdu mes dons oui, je ne parviens plus à vous aider.
Ciel ! Vous êtes partis si loin...
Mes remèdes ne suffisent plus à soigner vos blessures. Ma doctrine est dépassée...
Alors ne me parlez plus s'il vous plait.
Je ne vous suis plus utile désormais...

Mardi 19 décembre 2006 à 21:34

Et alors ils écrivent, on ne sait pas vraiment pourquoi, mais ils écrivent. Ils ont besoin d'exister, ils ont besoin d'y croire.
   Après tout, ils sont au Lycée. La course à la réussite, et si les plus faibles ne sont pas radiés par les autres, ils s'élimineront eux-mêmes.
   La vie n'est pas vraiment comme on a l'air de le croire.
   Ils écrivent, comme si leur vie en dépendait, pour certains c'est peut-être vrai.
Ils écrivent, ou bien ils font semblant, parce que c'est mauvais de contrarier les plans des adultes. Ils le savent bien ces jeunes! ils l'ont compris!
Parce qu'ils ont raison les adultes n'est-ce-pas? Après tout ils sont vivants depuis plus longtemps, alors ils en savent forcément plus et leurs techniques sont les meilleures. Sans nul doute.
   Ils écrivent alors, ils grattent le papier, ou bien ils se relisent pour la centième fois cherchant les fautes qu'ils ne soupçonnent même pas et qu'ils ne trouveront donc jamais.
Regardez-les. Ne sont-ils pas parfaitement conditionnés. Penchés sur leur copie avec leur air sérieu. Ils travaillent ces jeunes, ils réfléchissent à défaut de penser. Ils suivent les instructions "en effet annonce un constat, employer donc dans vos conclusion; faites des alinéas." Mécaniquement. Ils savent rédiger ça oui, mais ils ne savent plus écrire, plus rêver. Si ce n'est à l'aide d'un joint.
   Ils écrivent en dessous du cadre, en haut à gauche nom prénom classe.
Mais la plupart savent qu'ils n'ont pa vraiment réussis.
Qu'importe ils sont dans les règles, ils écrivent, machines à être.
Ciel qu'ils sont bien conditionnés! non vraiment! C'est si beau.
Bienvenue jeunes gens, bienvenues en 2007!

Samedi 9 décembre 2006 à 23:01

Vous savez ce que c'est vous que la pureté de l'âme?
 Moi je doute.
Je doute que ça existe. Non, vraiment.
J'analyse chaque jour les gens et leurs attitudes, leurs regards et leurs gestes.

Il y a deux options. Il y a ceux qui ont un bon fond, et les autres.
Il y a ceux que l'on trouve beau même une fois qu'on les connait bien et les autres.

J'étais, il y a quelques mois à présent, dans un environnement où ils étaient tous beau quand on ne les conaissait pas très bien. Ces gens, ils étaient drôles, gentil mais au fond d'eux. Ils étaient laids. Tous, ou presque.
Mais maintenant, maintenant je vois
qu'ils sont maladroits, méchants, crus. Mais ces gens là, de ce Lycée. Il ont vraiment un fond pur.

Vous savez, bien sur, vous savez. Ceux qui aiment faire mal pour le plaisir de se sentir supérieurs. Vous savez, ceux qui frappent encore alors que l'on est au sol. Vous conaissez, cette méchanceté gratuite. Bien sur...
Et puis il y a ceux, ceux qui disent ça pour votre bien. Ceux qui vous blessent par une trop grande sincérité. Ceux qui veulent protéger mais qui détruisent uniquement par maladresse...

Ils sont comme ça aujourd'hui. Ou bon ou mauvais.
Mais je ne me
fais pas d'illusion. J'ai appris.
Il ne faut pas juger non, juste analyser et parfois craindre.
Il est bon l'homme, au fond, au fond du fond. Très loin dans lui il est bon, je veux le croire.
Mais
il y a forcément des gens pour piétiner mes espérances.
Il y en a que ça ne chagrine pas de ne pas avoir de coeur.

Taisons-nous je vous prie. Je ne tiens pas à ce que l'on me tranche la gorge.
Il y a tout ces spectres de beauté qui nous surveillent et nous attaquerons par derrière.
Et il y a les âmes de beauté. Mais ciel! Qu'
elles se font rares.

Vraiment merci, merci d'être là.

a nos actes manqués!
"Aux trahisons que j'ai pas vraiment regrettées..".

Samedi 9 décembre 2006 à 22:33

On aurait pu partir écrire "liberté" sur les murs
Au lieu d'y écrire "fuck" , on aurait soigné nos blessures
On serait reparti tous sur le
même chemin
Ils nous auraient souri, auraient tendu
la main

Oui mais viens on s'en fou, on s'en v
a on s'emmerde
Allez part avec nous, on a plus rien à pe
rdre.
Si tu veux ferme les yeux, moi je nte lacherai
pas
On revien
dra sur terre, et des rêves pleins les bras
.

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