Dimanche 21 janvier 2007 à 16:50

Prends une autre route que celle qui t'étais destinée et ne crois plus les autres quand ils t'abaissent. Pour toutes les fois où moi je t'ai crue.
Pour chaque sourire que tu m'as donné, que par ma force tu oublie tes faiblesses
pour toutes les fois où tu t'écroules sous mes yeux.
Tu seras ce que tu veux être, Oh ce que tu veux être et rien d'autre puisqu'à présent je suis là pour effacer ton destin, je t'offre les pinceaux pour que tu le repeignes à ta guise.
Tu feras selon tes rêves et je serais là pour t'aider à les concrétiser.
Ce sera comme tu voudras, en minijupe avec les chaussettes hautes. Ton visage dégagé, l'esprit et la vision  libre. Tes longs cheveux rassemblés en chignon arnachiste un peu au dessus de ta nuque. Et tu mettras des talons si tu veux, on les feras silencieux, personne ne verras que tu triches. Et si tu veux rester discrete comme tu l'es, ce sera possible aussi. De simple sandales en toiles, des chaussures plates. Tu veux des tongs? Va pour des tongs. Marron avec des lacets qui montent le long de la cheville, daccord.
En minijupe avec de hautes chaussettes et...Pas de chaussettes? Daccord. Pas de chaussettes. Alors tes jambes nues et des lacets autour de tes chevilles. Oui c'est parfait.
Et tu verras que plus personnes ne t'empêcheras d'être. Tu pourras devenir comme tu voudras. Puisque maintenant je marche à tes côtés. A tes côtés...
Ne me regarde pas comme ça. Bien sur que ça ne mène à rien! Hey quoi?
Bien sur que ça en vaut quand même la peine!
Ce n'est pas parce qu'un rêve est inutile qu'on ne se doit pas de la réaliser vois tu?
Bien sur, bien sur que tu vois.
Allez trace ton chemin, je te couvre.


Mercredi 27 décembre 2006 à 10:41

Marchez je vous en prie, ne vous attardez point.
Déjà le chagrin rode et Dieu sait qu'il a faim.
De votre bonheur sot il fera son empire.
Bientôt vous serez loin et vous pourrez en rire.

Car la fuite n'est-elle pas la plus forte des armes?
Vous qui voulez combattre, et risquer votre vie,
Ne souhaitez vous donc pas user de votre charme
Pour une victoire plus sure loin du sang et des cris?


J'ai quelque part en moi cette envie de m'enfuir.
De ne craindre plus rien, de ne rien redouter.
Et parvenir enfin, loin de tout, à courir.
Puisqu'aucun d'entre vous ne me fera douter.

Partons je vous en prie, et accompagnez moi.
Fuyons toutes ces peines et la colère d'autrui.
Nous forces s'amenuisent mais en vous j'ai la foi.
Nous saurons faire un monde, un ailleurs loin d'ici.

Vendredi 22 décembre 2006 à 21:51

Ces mots ci sont les miens.
Et ils vous parviennent par une voie,
Qui n'est pas la mienne mais celle de mes mains
Courage à votre coeur saura-t-il supporter
La haine et la douleur que mon âme a porté?
Voici pour vous mes vers mais aussi mes souffrances.
Je nie être l'enfer encore moins l'espérance.
Mais laissant vos regards parcourir quelques lignes
De mes tristes paroles, de mes chagrins d'antant,
Peut être serez-vous touchés, je l'imagine.
Plus tard vous apprendrez ce qui m'inspire tant.

Je ne suis plus enfant depuis quelques années.
La couleur de mon sang n'a pourtant pas changée.
Et j'espère en mon coeur atteindre le repos.
Cette courte vie m'abime,
J'entend craquer mes os.

Car au creux de mon coeur griffe un lion sauvage,
Me lacérant la peau, laissant sur mon visage
De profondes cicatrices dont la beauté rayonne                                                 image: par mo. dans Cherbourg
Tout près de mon sourires que les larmes sillonent.

Mercredi 20 décembre 2006 à 21:05

Se taire.
Non s'il vous plaît ne me parlez plus. Vos maux m'usent et ravivent les miens.
A présent que vous êtes si loin, à présent que je ne puis plus parvenir jusqu'à vous;  Oubliez-moi je vous prie. Laissez moi être, sans vous soucier de mon sort. Et ne me parlez plus du votre. Car désormais plus rien ne m'importe.
Je ne vis plus.
Je suis.
Sans aucun désir, sans aucun ornement, sans aucune crainte. Si ce n'est celle de votre présence...
J'ai aujourd'hui tout perdu. Chaque don que je possédais. Je ne suis plus qu'une ombre, un souffle.
Le souffle de vos lèvres.
J'ai cessé d'exister, pour vous, pour moi et pour les autres.
J'ai perdu mes dons oui, je ne parviens plus à vous aider.
Ciel ! Vous êtes partis si loin...
Mes remèdes ne suffisent plus à soigner vos blessures. Ma doctrine est dépassée...
Alors ne me parlez plus s'il vous plait.
Je ne vous suis plus utile désormais...

Samedi 9 décembre 2006 à 22:33

On aurait pu partir écrire "liberté" sur les murs
Au lieu d'y écrire "fuck" , on aurait soigné nos blessures
On serait reparti tous sur le
même chemin
Ils nous auraient souri, auraient tendu
la main

Oui mais viens on s'en fou, on s'en v
a on s'emmerde
Allez part avec nous, on a plus rien à pe
rdre.
Si tu veux ferme les yeux, moi je nte lacherai
pas
On revien
dra sur terre, et des rêves pleins les bras
.

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