Mardi 17 avril 2007 à 20:42

Voici une lettre pour mon avenir,
J'ai grandit sans vraiment être belle.
Mais au départ j'étais heureuse, même si à mes côtés il n'y avait pas les bonnes personnes.
J'ai alors appelé d'autres gens.
Je suis sure que c'était la seule chose à faire.
Parmi cette famille choisie il y avait toi.
Mais je meurs. Je suis fatiguée.

Voici une lettre pour mon futur
Pour tous les instants où nous avons pu sourire ensemble.
Je voulais juste te dire "souviens-toi"
Il y a dix ans, tu es entré dans ma vie.
Et j'ai prié pour ton bonheur.
Oh j'ai tant de peine quand je repense à nous.
Je rêve de revoir ses euphories sans qu'elles ne soient bleues
De la couleur de la vérité j'aimerai mieux
tu vois, pour tout re sentir.
Mais je meurs. Je suis fatiguée.

Puisque je ne peux pas attraper
tout ce que nous avons laissé choir
Parce que rien ne sera comme avant. Et j'en pleure  parce que j'en deviens folle.
Pourriez-vous me rejoindre dans ma folie? Pour moi, pour nous.
Pour revoir ses euphories sans qu'elles ne soient bleues.

Voici une lettre pour plus tard.
Juste, rappelle moi ce que ça fait de sourire pour de vrai.
Parce que
Je meurs, je suis fatiguée.

Mardi 13 mars 2007 à 19:13


Entre Terre et Ciel, tu sais, comme chaque jour.
Sauf qu'aujourd'hui j'en prends conscience.
Regarde comme c'est beau, lève la tête vers les cieux, baisse les yeux et admire la verdure de notre monde. A nous. A eux.
Regarde comme c'est beau, on est vivant, on respire et tu me fais rire.
Aux éclats.
Entre Ciel et Terre tu vois, comme l'amour.
Sauf qu'aujourd'hui ça me fait comme un vide immense.
Regarde comme c'est beau, ils s'offrent des fleurs et se tiennent la main, s'embrassent avec la langue et se tiennent par les reins.
C'est presque immonde. Pour nous. Pas pour eux.
Regarde comme c'est beau, on est vivants on respire et tu me fais sourire.
Aux éclats.
Entre les nuages et la poussière tu comprends,
comme ça aurait toujours du être, sans regrets,et avec sentiments,
Sensations, passion, sans jamais croire qu'il ment.
Aux éclats
De verre je me fis, tout est réparable plus ou moins fissuré
Tout ça, ça suffit on aurait du jurer
Qu'un jour on devrait s'en foutre, allez plus rien à cirer.
Entre branchages et  verres de terres tu sens,
Comme sur ta peau courre le vent
tu vois, c'est comme quand on était enfants
Les après midi dans le parc jusqu'au soleil couchant.
Et puis après, oui on est loin mais c'est comme ça
du moins c'est ce qu'ils disent, j'avoue: je n'y crois pas.
ça fait comme chaque histoire, comme celle de ma vie
Y aura une fin tragique, et tout ce qui s'en suit
Mon coeur, on s'habitue, là
Entre toi et moi.
On est vivant, on nait vivant.
entre toi et moi
Il y a la vie qui nous prends.



"_Qu'est ce qu'il y a entre vous deux?
_des kilomètres."

Dimanche 25 février 2007 à 21:07

Hey Roméo, donne moi une raison d'y croire encore.
A l'intérieur il y a mon coeur qui fond
il y a mon ventre qui se tord
Y en a qui disent que t'as raison,
Moi je sais bien qui a tort.

Hey roméo, rappelle toi comme t'es mort l'autre siècle
A vouloir tant plaire à Juliette
Moi maman m'a tout expliqué:
Pour les filles c'est pas bon d'aimer.

Hey Roméo, dis comment jvais faire moi
Jme suis pommée dans ton histoire
Faudrait que tu m'aides à trouver ma voie
Ou jvais finir fille des trottoirs

Hey Roméo,
le mien il est partit trop loin
Et j'ai même pas pu l'embrasser
Comment je fais si je sens que mes reins
Sont sur le point de s'embraser
Et ici Roméo, plus personne pour me refroidir
Je suis toute seule et les mains vides
Le temps est en train de courir
Et mon visage en vire livide

Il y a des nuages dans les cieux
Et c'est la mousson dans mes yeux
J'ai très envie de m'en aller
Et Sur mes joues, y a d' l'eau salée...

Hey roméo je perds la foi
Et toi t'es mort et tu m'aides pas
Pourtant si t'es refroidit c'est par l'amour
T'aurais pu nous laisser un guide pour toujours
Mais moi jsuis toute seule sans amants
J'aurai du écouter maman...

Hey Roméo, donne moi une raison d'y croire encore
Quand je l'aime et qu'il n'y a aucune trace de lui sur mon corps...


Et dans quelques temps Roméo, il aura trouvé sa Juliette.
Et ce ne sera pas moi, jsuis partie trop loin.
Mes idéaux ne sont pas nets
Y a des gens comme moi Roméo,
Pour qui l'amour ne mènent à rien.

Dimanche 18 février 2007 à 11:53

Pour cet article il n'y a pas de sujet. J'ai écrit ça pendant un de ces contrôles interminables où il nous reste une demie-heure/une heure à rien faire. Et puis j'ai retrouve le petit bout de papier avec dessus les mots qui vont suivre. Et en relisant, jme suis dit que c'était "sympa".
Soyons fous:

Comme si au fond, il n'y avais plus rien. Rien. Nothing. Nichts. Nada. Netra.
"Je reviendrai ici, sans toi, et ce sera mieux. J'en pleurerai. Juré"

Et je suis revenue. Sans elle. Et j'en ai pleuré, juré. Sauf que ça n'était pas mieux.
Bien sur je l'avais haïs plus que tout autre; c'était une fille insupportable. Mais maintenant qu'elle n'était plus là, et que j'étais seule à mon tour. A l'abandon comme elle l'avait été...Et bien il me semble qu'elle me manquait cette créature infame.
Je ressentais un énorme manque en moi, toute ma passion bouillonait. Haine, colère, rage, flou artistique et hélan d'amour, je portais tout ça en moi. A l'intérieur. Mais maintenant qu'elle n'était plus là, je ne savais plus vers qui diriger toute cette énergie. Et j'en pleurais. Juré.
J'aurai voulu rester là-bas pour toujours, elle était libre maintenant, mais de cette liberté qui vous tue.

Jeudi 25 janvier 2007 à 21:13

mo et Audrey. Bordeaux

Il fait mal ce soir ce monde. Comme chaque soir d'ailleurs, sauf qu'en cette nuit tu le ressends.
Tu es blessé me trompe-je?
C'est ainsi que veux-tu...Toi qui avais jusqu'ici une vie des plus enviables, ayant à ta porté chacun de tes désirs. Toi qui avais tout ou presque.
Non pas qu'à présent tu ne sois privé de tes biens non, Seulement voilà, ça ne va pas non.
Et tu ne saurais dire pourquoi. Les esprits en auraient-ils contre toi?
Si seulement il n'y avait que ça. Parce que les vivants aussi s'y mettent.
Mais voilà, tu crèves, mais comme tu vois, tout le monde s'en fou et la Terre tourne encore.
tu souffres hein? C'est comme ça, on te demandera juste de te taire, ne dérange pas ces gens qui vont bien veux-tu? Mais oui! Mais oui mon ange, mon amour, mon aimé.
Mais oui, je t'aime; mais oui tu es seul
. Et même l'attachement que je te porte ne suffira pas à combler ce vide, je sais bien. Tu sais bien. Moi aussi j'ai connu ça.
ça nous arrive à tous. Nous autres sommes construits ainsi.
Et malgré l'odeur âcre de ces corps humains qui t'entourent t'ecoeure. Tu en a marre je sais, de tout de rien. De vivre, mais tu es trop faitgué n'est-ce pas? Trop fatigué pour mourir, je sais. Je sais.
Alors endors toi juste, bercé par tes douleurs, tes souffrances et tes miasmes.
Essaie de ne pas trop trembler tout de même, tu génerais les autres...
Endors toi juste, et pendant que tu crèves je vis.
Endors toi juste
.

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