Mercredi 27 juin 2007 à 21:19

Trois.Quatre.
Sortez vos griffes et vos briquets.
voici l'heure de l'évasion.
Applaudissez. Plus fort. Encore plus fort.
J'ai l'acide qui me ronge les os de l'intérieur et ça me fait pleurer rouge et rire jaune. J'ai voulu me mettre au vert, partir dans mes rêves bleus.
Finalement j'atteris dans une rave, une seringue plantée dans mon avant-bras frileux.
Trois. Quatre.
Rangez vos billets et vos chiffres.
Voici l'heure la plus lubrique.
Marquée par votre concupiscence nauséabonde. Frappez dans vos mains, mélangez vos salives.
Et tout ces liquides qui nous identifient.
C'est la farandole du nimporte quoi.
La suite a un gout d'herbe de provence et de métal.
ça vous reste au travers de la gorge, respirez fort la fumée qui s'aggripe à vos bronches.
Trois. quatre.
Respire, expire, résiste, existe.
Parce que le jeu en vaut la chandelle.
Ramassez vos allumettes et rallumez les bougies. Le chandelier conduit la chaleur et j'ai la pomme de mains collée au comptoir. Rouge, brulante.
Ses lèvres.

Trois.Quatre.

Lundi 25 juin 2007 à 11:43

Le coeur morcelé. Le corps engourdis. La tête qui tourne encore plus vite que la Terre.
L'un près de l'autre. en nos esprit. Comme s'il n'y avait que nous.
Nous et cette musique qui nous envolent de l'intérieur.
Les yeux clos et un léger sourire sur le visage.
Essouflés l'un comme l'autre. Défoncés jusqu'aux os.
Les yeux rouges sous nos paupières lourdes.
Avec l'odeur de sueur qui plane dans la pièce.
Mais nous on la sent plus, on sent plus rien.
Juste le monde qui tangue et nos coeurs qui cognent.

Mardi 19 juin 2007 à 10:46

Ce que j'aime c'est le fait qu'il n' ait rien
Un soupçon de méfiance et puis tiens
Caresse ma peau et laisse moi dormir
Je sens mes poumons se consumer et pourir...

au fil des avalanches, au milieu des torrents
Noyés dans l'insouciance comme le fu rent nos parents
Parce qu'au fond on fait tous la même
Fais tourner la bierre, embrasse-moi, je t'aime.

Avachis sur un banc tout au bord de l'eau.
Je suis une fleur fânée et inodore
Une rose trop épineuse pour être admirée
qui ne provoquera que la beauté des douleurs

Même si ça ne rime pas correctement
même si je me perds au fils des firmaments
entre le fumée du néant et celles de nos idéaux
En fermant un peu les yeux, on peut s'envoler très haut...

Samedi 28 avril 2007 à 11:34

C'est pas vraiment quelque chose de très douloureux
Non, c'est juste qu'il n'est pas là et que ça fait tout vide.
Alors bien sur que non, il n'est pas amoureux
Puisque je ne sais pas encore très bien qui il est.
Pas encore très bien.

Voici de nouveaux un grand n'importe quoi.
Juste parce que des fois j'aimerai être avec lui/eux/vous. Mais Je comprendrais quand je serai plus
grande.
Quand je serais sage.

Et je joue le faire-croire.
Puisque tout ça c'est insoluble, c'est le chaos de mes pensées.
Et les "parce que je t'aime" que je balance me reviennent sous la forme d'écchimoses.
J'ai mal aux yeux et au poignet.
J'aime juste l'écouter. Les écouter et les sentir.
Pour à nous peu n'être plus qu'un tas de gens désossés.
Des jambes et des doigts enlacés
Jusque dans les cheveux.
Avec l'empreinte de mes douleurs près de vos pores, sur vos peaux.
Quelques traces rouges et puis mon coeur
qui s'envole et m'abandonne dans mon corps
Encore une fois seule et vidée
Pleine de sensation et d'odeurs.
Avec l'écharpe qui sent le je t'aime, le tabac et le soleil.
ça me plait.

ça encore ça ne veut rien dire.
Mais c'est ce qui marche me mieux pour m'endormir. A l'heure ou les écrans s'éteignent pour laisser s'allumer les étoiles et les lampes. Et puis bientôt des ampoules sur mes phalanges.
A gratter les cordes et le papier.
Juste parce que ça libère, parce que ça m'oublie. Et puis tout plein de belles métaphores insensées, sans conséquences, avec les mains douces, les yeux clos. Ou sur les lèvres.
Que s'envolent les notes et les enclument.
J'ouvrirai tes ailes et pour que tu t'envoles, je te mordrai les chevilles et te brulerait jusqu'au sang.
Planter mes dents dans ta peau pour avoir le goût de toi. Parce que j'aime ce que tu es.
Calme toi Anko. Chibi patate. Mo. toi.
Shine kisama. Teme...Sukyo Teme..
"Ta gueule! Je t'aime!"
ça bouillone et ça brule.
Pose les doigts sur le ventre et que s'enflamment les reins. Pour la beauté de la chose, de la sensation, tu vois. Un peu partout, surtout dans l'herbe.
Et puis éno qui me manque aussi. Ses cheveux rouges. Si c'est un signe 013?
Natürlich...

Venez donc dans mes bras que je vous y envole...
Et pardonnez ma perdition.

Mercredi 25 avril 2007 à 21:21

C'est pour moi. Un peu pour lui.
Mais ça veut rien dire.
Il aime bien. Et jlaime bien.
Et puis au fond moi aussi j'aime bien.
C'est rien ça.C'est rien du tout.C'est tout.
C'est ce qui me vient
Même si des fois j'ai des trous.
Parce que c'est ça la vie.
et que tout recommence.
Je pensais que c'était finit et voilà que ça me lance.
ça pique le coeur tout ça
et jusque sous les yeux
et puis même si je comprends pas,
jme dit que ça ira mieux.
Oui peut-être, enfin surement.
Même si je sais maintenant
qu'elle ne s'en ira pas.
Qu'il faudra encore attendre
et que rien n'est jamais facile.
et j'ai des gouttes d'eau au bout des cils.
ça chatouille sur mes joues, et puis ça tombe au creux de mon cou.
ça sert à rien mais ça soulage
Et dès que je quitterai l'écran, j'aurai.  mal je sais.
J'aime pas cette réalité, j'aime pas ces murs
et j'ai jamais vraiment aimé les plafond.
Je préfère les cerises.
Même si ça m'en fait mal au ventre
mais c'est les hormones.
voilà qu'il y a même plus de rime.
C'est un crime, à le croyez vous.
Je suis une petite marchande de proses
les vers ça n'a jamais été ma tasse de thé.
'oh superbe jeu de mot"
jeu de mo.
Je demande pas grand chose vous savez.
Jvoudrais faire comme dans la chanson "ouvre tes ailes et envole toi"
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.
Du moins je suis bien avec toi. Je plane.
Même s'il ne se passe rien.
même s'il se passe ça.
Parce que ça c'est rien
.
Mais embrasse moi sur les lèvres s'il te plait.
Apres, je ne pleure plus
après promis, je me tais.

Je me tais. Je t'aime mais je me tais.
Non ça ne veut rien dire. Parce que je vous aime, et je ne vous aime pas.
Je vais bien ça trop bien aller.
L'eau est l'élément conducteur.
Tiens, il a les yeux bleus. Mais ce n'est pas lui.
même si c'est un signe. Mais audrey vois des signes partout.
Envie d'une cigarette. Mais pas envie de fumer.
Boire. Eau. Merci.
A présent sommeil.
Mais j'aimerai des mains sur la peau de mon dos....

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