Vendredi 16 février 2007 à 19:59


ce qui est vrai en moi, c'est vous.



[Attendez-moi j'arrive]

Vendredi 16 février 2007 à 17:45

Et comme tu regardes deriere moi je me dis que c'est trop tard.
C'est toujours trop tard, mais pour l'instant c'est surtout finit.
Je me couche en même temps qu'ielt jfpe uozt^;flzur^ erko^dmùz


Un clavier, c'est ni comme un piano, ni comme une guitare. Mais un peu si.
C'est une mélodie différente, ce sont des lettres qui s'accordent mais si on tappe sur des touches aux hasard, le résultat n'a pas toujours de sens.
Tout ça ankoancore pleure parce que ça , va pas toujours nuit toujours lumière soleil 2000et apocalyspe nottes et saltinbanque et je taimeparce que c'est l'heure mais papa seulement raconte moi juste capsule investiture nepostimes et envol puisuqe séparation pourboire déchire là, mal, quelques peu douleurs au creux et embrasse. ça ne veut rien dire mais pourtant c'est écrit avec le coeur, dans la folie, dans ma folie. Avec les mots qui viennent, comme ça, sans chercher à faire des vraies et belles phrases toutes bien construites.
Ce sont des mots qui tombent, mais si je jouait d'un instrument là maintenant, vous n'auriez pas saisis la mélodie, vous auriez entendus que je jouait faux. Alors que non, je ne jouais faux que pour vos oreilles. C'est mots mélangés et salis, incompréhensibles, car mal assemblés. C'est moi. Maintenant.
Et je sais bien, il y a en a partout, qui aimerait savoir ma vie. "raconte-moi ta vie Anko" oui, non, on verra. Attends.
C'est difficile tu sais, et là j'écris mal du coup. Parce que j'écris pour rien, vraiment pour rien, et il fait trop sombre dans cette pièce. Alors je ne vois pas les lettres écrites sur le clavier. Et ça, c'est nul.

Jeudi 15 février 2007 à 22:06

Cette danse là, elle est pour toi Franck. T'as fais l'effort de venir, c'est ta soirée. Allez regarde, tu dis que je te fous la gerbe, mais après tout, je suis sure que sur ce point tu mens.
Regarde mon coeur, regarde, gauche, droite, gauche...C'est ce qu'on appelle se déhancher.
Oui, la musique est rapide, pour toi ça n'en est peut-être pas. Juste du bruit sur lequel les corps se déchainent, c'est un peu ça , je te l'accorde.

Jtai abandonné hier je sais, c'était dur hein? T'as vu, on se retrouve con, à plus savoir quoi faire de ses mains. Allez regarde moi Franck! Voilà. Regarde leurs mains à eux, ils sont pommés aussi tu sais, mais ils savent quoi en faire de leurs mains tu vois, ils me touchent, du bout des doigts, mais ils sont bien dans leur peau là. Eux. Détourne pas les yeux mon ange, mon assassin.

Et puis tu sais, hier, après t'avoir raconté tout ça, ma galère (qui deviendra la tienne, juré.), mon devenir...J'ai encore repensé à avant, et jme suis dit...C'est con mais,
Ptête qu'on aurait pas du se retrouver, ptête que j'aurai du rester moi dans ma merde et toi dans ton velours de contre façon. Ptête que ça aurait été mieux si ton abandon n'avait pas eu de suite, si on avait réellement réussit à s'oublier.
Ptête que je srais pas comme ça en train de tous les aguicher pour que tu me regardes, me plaigne et me secoure. Ptête que j'aurai finit par trouver un autre type qui sait...
Mais maintenant t'es revenu, et t'aime pas comment je danse. Et j'aime plus comment tu me regardes, et on s'aime presque plus.

Et qu'est ce qu'on va devenir Franck nous deux? Cette question elle me torture depuis que je t'ai revu tu sais, qu'est ce qu'on va devenir? Maintenant qu'on s'est retrouvé, et qu'on a sombré tous les deux là où il fallait pas... Maintenant qu'on a plus de champs ou courir, maintenant qu'on ne ceuille plus de marguerite pour se dire qu'on s'aime un peu, beaucoup, à la folie...A la folie qu'on s'aimait nous. Je crois qu'on en est à "passionément". Et qu'est ce qu'il y a après "passionément" Franck?
ça a changé tout ça, on ne danse plus ensemble. Je danse toute seule, avec d'autres que toi, toute collée contre ces corps dont je préfère ignorer les pensées, et toi tu me regardes. Parce que je t'ai demandé de venir, et parce que tu as peur de te perdre encore en me perdant des yeux. C'est ça hein Franck? je  t'ai pas oublié mon coeur...
Mais il faut que tu m'aides maintenant, il faudra songer à me répondre.
Dis, Franck, est-ce-que ta Claudia est morte? Est ce que nous ça existe encore?
Et qu'est ce qu'on va devenir?...

Jeudi 15 février 2007 à 21:43

Il y a quelques minutes, je me suis dit, que ça ne servait à rien de vivre de grandes choses sans personne à nos côtés avec qui les partager.
C'est bientôt les vacances.

Et pendant ce temps,


Claudia danse, Florian jette les rosesLou fait cuire des pâtes, Coline rumine son apocalypse, Franck regarde une vieille photo, Estelle aguiche un voyou, Marion admire les fleurs et Yann est mort.

Et dans sa maison, Anko s'est fait une frange.

Mardi 13 février 2007 à 13:05

Je suis un peu énervée là. Parce que je suis malade, (tellement que j'ai mal à la gorge je peux même plus parler) et donc, je ne suis pas au Lycée.
La plupart s'en réjouirai à ma place, parce qu'en général, les jeunes n'aiment pas trop aller en cours.
Mais moi si, parce que, si bizarre que ça puisse paraitre, j'aime apprendre. voilà.
Et là je suis chez moi, et je ne peux rien faire, et ça m'énerve.
J'aurai pu aller en cours aujourd'hui, seulement mon père s'inquiète trop, alors il a voulu que je reste toute seule à la maison une journée encore.
Dans mon  Lycée, il y a ce qu'on appelle des "Devois sur Table" soient des "DST".
Le principe est simple, tous les mardis matins, un sujet type bac de deux à quatre heures, une matière différente par semaine. Et quand on les ratte pour abscence, il faut les rattraper.
Je devrais donc rattraper mon DST de français d'une durée de trois heures, et je serais surement surveillée de près. Je ne m'en réjouit pas trop à vrai dire...(nan, pasque j'aime apprendre, mais j'aime pas trop travailler...tout est relatif)
Et sinon,

Il y a des gens qui arrivent à faire un blog. Un vrai. Un dans lequel ils parlent de leur vie, de leurs passions tout ça...moi j'y arrive pas trop vous voyez? Je trouve ça trop dur, de se livrer comme ça. C'est un peu comme écrire une autobiographie, je trouve ça trop risqué, parce qu'obligatoirement on se trompe, on manque de recul, on vante nos propres mérites tout ça...
Il y en a qui y arrivent, sans que ça en soit ni superficiel, ni orgueilleux.
Mais moi je n'y arriverai pas je crois. je sais, enfin je crois savoir, que ma vie est assez intéressante. Comme toutes les autres, elle peut être passionante si on la regarde du bon angle. Seulement, c'est ma vie. Et rien que c'est deux mot "ma vie", je trouve que ça fait trop.
Je pourrai vous raconter pourquoi j'ai grandit comme ça, pourquoi j'ai peur de la violence, pourquoi je serais pourtant capable de rendre un coup, pourquoi j'écris, pourquoi je chante.
Je pourrai vous raconter ma mère, mes parents et mes amours. Je pourrais vous raconter mes envies et mes rêves, vous raconter pourquoi...
Mais je ne pourrais pas écrire toute mon histoire avec un "je" vous comprenez?
Parce que c'est un peu dur parfois ce que nous impose la vie, et parce que j'ai peur de vous tromper dans mes dires, peur de vous faire croire sans m'en rendre compte.
Alors c'est pour ça qu'il y a ici une catégories "fausses vérités fictions."

Je triche vous savez, je triche pour tout, pour réussir surtout.
La triche c'est un moyen comme les autres de réussir. Juste qu'il ne faut pas se faire prendre, jamais.
Toutes ces histoires, Claudia, Lou, Franck, Coline et Yann...Et tous les autres qui suivront.
C'est un peu de moi, et un peu des autres. Je ne sais pas vraiment si ça c'est de la triche...

Mais tous les auteurs font ça n'est-ce-pas?...
Ils nous font croire qu'ils inventent; mais c'est faux non? Ces histoires, ils nous les disent parce qu'ils les ont vécues, parce qu'elles ont été vécues par d'autres. Ce sont des histoires qu'ils ont lues, qu'ils ont vues, dont ils ont entendus parler. Et ils en changent les noms pour mieux se jouer de nous, pour mieux nous envoler, pour mieux nous..Faire croire.... C'est ça non? Je ne me trompe pas?
Et ils écrivent les histoirent ainsi, les mélangeant les unes aux autres et plaçant çà et là de sublimes métaphores.

Moi j'écris surtout pour vous, pour vous envoler, pour vous faire croire. Vraiment, parce que moi aussi j'en ai besoin.
écrire pour moi c'est comme la cigarette pour certain. Et même si je ne partage pas mes mots, rien que de les poser à l'écrit parfois ça soulage. Comme si je n'avais que ça pour expulser. comme si parfois les larmes ne suffisaient pas.

Et c'est bien je trouve, c'est mieux que les scarifiactions ou les piqûres d'héroïne je crois :)

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